1. |
Respirando
03:56
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*Respirando*
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Respirando… respirando…
En regardant encore le ciel la nuit
Je pense que, eux, ils sont tous en train de dormir, comme toi
Nous sommes les tristes, ceux qui sortent aussi
Quand tous sont en train de dormir la nuit obscure, comme toi
Rien dans mes mains, rien à t’offrir
Comment te dire que moi je ne dors pas ?
Sans te réveiller
Nous allons jouer
Avec tes rêves
Sans déranger
Des voix lointaines qui me parlent de toi
Qui me disent que maintenant tu vas beaucoup mieux, comme toi
C’est simplement
Une autre forme de voir comment on vieillit sans remède
Je sais pas quoi faire, pour retourner
Si tu n’es pas ici
Pourquoi continuer ?
Respirando
Si tu n’es pas
Si tu n’es pas ici
Pourquoi continuer ?
Respirando
Respirando… respirando
En regardant encore le ciel la nuit
Je pense que, eux, ils sont tous en train de dormir, comme toi
Nous sommes les tristes, ceux qui sortent aussi
Quand tous sont en train de dormir la nuit obscure, comme toi
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2. |
Couteaux tranchant
04:45
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*Couteaux tranchants*
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Éclair, orage intense, tout est en calme, chez eux il fait beau
La rue, la faim, la danse des fous
On en a marre de jouer dans la boue
En écoutant les cloches de vos stupides chansons (chansons)
Couteaux tranchants, couteaux tranchants, couteaux tranchants
Quand vont-ils arrêter ?
On voit tout rouge, on les attend dehors
Couteaux tranchants, couteaux tranchants, couteaux tranchants
Temps de chien, froid de canard
Dansons vas-y
Dépêche-toi, dépêche-toi
Je vais tailler, dépêche-toi
Couteaux visant la tête
La peur va te coincer
La peur va te bloquer
Couteaux glissants
Couteaux tranchants, couteaux tranchants
On en a marre des cauchemars
Marre des hommes politiques ti ti ti ti ils me niquent
On en a marre de tous ces crapauds
Qui nous traitent comme des mouches
Quand en fait on est morts (x2)
Éclair, orage intense, tout est en calme, chez eux il fait beau
La rue, la faim, la danse des fous
On en a marre de jouer dans la boue
En écoutant les cloches de vos stupides chansons (chansons)
La rue, la faim, la danse des fous
On en a marre de jouer dans la boue
Marre des hommes politiques ti ti ti ti ils me niquent
On en a marre de tous ces crapauds
Qui nous traitent comme des mouches
Quand en fait on est morts (BIS)
Quand en fait on est morts (BIS)
Couteaux tranchants, couteaux tranchants, couteaux tranchants
Quand vont-ils arrêter ?
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3. |
Retourne bientôt
04:12
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*Retourne bientôt !*
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Retourne bientôt, ils se reposent
Rien ne peut nous arriver
Peut-être demain, il sera tard
N'y repense plus, s'il te plaît
Ça fait si mal le soleil
Qu'ils ne peuvent plus réagir
Ils sont endormis, partons bientôt
De cette merde de lieu
Très loin, tous les deux,
Enfin, on va fuir. Enfin (bis)
Ne me déçois pas demain et reviens
Tous les matins / je pense quand
Quand sera le dernier / jour de ma vie.
Te rappellerai-je ?
Me rappelleras-tu ?
Quelle vie aussi vulgaire ! (bis)
Retourne bientôt, ils se reposent
Rien ne peut nous arriver
Ils sont endormis, partons bientôt
De cette merde de lieu
Pour toi… j’irais
Jusqu’au propre Enfer. Enfer (bis)
Ne me déçois pas demain et reviens
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4. |
Mourir sans douleur
04:48
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*Mourir sans douleur*
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Je ne peux plus continuer
à brûler des almanachs
Je le sais, seulement moi
Je peux m'enfuir sans sortir
je peux mourir sans douleur
Rien que pour toi, je renaîtrais encore
Personne t'a vu depuis déjà longtemps
Qu'est-ce que tu as vu? Aujourd’hui, toi
Si... si tu me vois
regarder le soleil
c'est sûr que_ je vais pas_ aussi bien
Comme des âmes sans foi il y a pas d'émotion
Le soleil se lève bientôt, lui
Moi je vais où ? Je suis où ?
Viens vite me chercher
Déroutée, c'est bien vrai...
Je marche où il n’y a personne
Ainsi tu pourras me rencontrer
Si proches, ah, je les vois, ah ah
Les lumières (oh) m’appellent
Si proches, ah, je les vois, ah ah
Les lumières (oh oh) m’appellent
Je ne peux plus continuer
à brûler des almanachs
Je le sais, seulement moi
Je peux m'enfuir sans sortir
je peux mourir sans douleur
Rien que pour toi, je renaîtrais encore
Encore, je renaîtrais encore
Encore, encore
Je renaîtrais encore, je renaîtrais encore
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5. |
Mensonges
03:55
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*Mensonges*
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Suis-moi, tout est très simple
La vie passe tellement vite que nous ne pouvons pas penser
Que peut-être
Demain il sera tard déjà
Pour sortir de ce sacré asile
Ferme les yeux, respire fort et sors la tête par la fenêtre
Et crie-leur
Peut-être qu’un jour j’en pourrai plus
Tu leur mens lorsque tu peux pas répondre
Tu leur voles sans gêne quand ils dorment
Tu te moques des gens quand tu les vois pleurer
Les vautours entourent ton cœur
Laisse-moi, je supporte pas tes mots
Tu leur mens lorsque tu peux pas répondre
Tu leur voles sans gêne quand ils dorment
Tu te moques des gens quand tu les vois pleurer
Les vautours entourent ton cœur
Des mensonges à la télévision
Des mensonges dans les infos
Des mensonges par toutes les rues
Des mensonges pour respirer
Il fait déjà jour (il fait déjà jour) et je sais pas où tu es
Tu leur mens lorsque tu peux pas répondre
Tu leur voles sans gêne quand ils dorment
Tu te moques des gens quand tu les vois pleurer
Les vautours entourent ton cœur
Des mensonges à la télévision
Des mensonges dans les infos
Des mensonges par toutes les rues
Des mensonges pour respirer
Il fait déjà jour (Tu leur mens …) et je sais pas où tu es
Tu te moques des gens quand tu les vois pleurer
Tu te moques des gens quand tu (BIS)
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6. |
Métal noir
04:46
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*Métal noir*
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Dis-moi s'il te plaît ce que tu vois
si...tu pars, préviens-moi
Continue à marcher
Personne ne sait combien je t'aime
Regarde pas en arrière
tout continue pareil qu'hier
Métal noir, tes yeux
il n'y a plus de temps pour nous deux
La chaleur est déjà là
Ils continuent tous aussi malades
à se voir dans la glace
pourvu que cette année finisse
Désert blanc, nos âmes
il n'y a plus de feu quelle horreur
Dis-moi où tu iras, quelque part
s'il n'y a pas... où aller
Regarde comment ils vont
Ils ont l'air si fatigué à force de supplier
Mais ils se fichent de tout
Métal noir, tes yeux
il n'y a plus de temps pour nous deux
Désert blanc, nos âmes
il n'y a plus de feu, quelle horreur!
Tiens tout ce que j'ai
au-delà du ciel
Je te donne tout...
Viens n’aie pas peur
Allons-y avec les chiens
tous les deux...
Métal noir, tes yeux
il n'y a plus de temps pour nous deux
Désert blanc, nos âmes
il n'y a plus de feu, quelle horreur!
Tiens tout ce que j'ai
au-delà du ciel
Je te donne tout...
Tiens tout ce que j'ai
au-delà du ciel
Tous les deux
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7. |
Regarde-toi
03:54
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*Regarde-toi*
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Je marche seule parmi les gens
Pourtant personne ne me voit
Je les touche, les automates
Mais eux, ils réagissent pas
Pourquoi j’ai des souvenirs
De choses qui n’ont jamais existé ?
Regarde-toi, tu marches sur le feu
Où vas-tu ? tu cours seul et nu
Appelle-moi, n’hésite pas
On pourra peut-être brûler ensemble
Mon odorat est différent des autres
Mon ouïe est différent aussi
Ecoute-moi
Sens-moi bien
J’ai besoin de me sentir vivante
Regarde-toi, n’hésite pas, écoute-moi, sens-moi bien
Regarde-toi, tu marches sur le feu
Où vas-tu ? tu cours seul et nu
Appelle-moi, n’hésite pas
On pourra peut-être brûler ensemble
Ecoute-moi
Sens-moi bien
J’ai besoin de me sentir vivante
Regarde-toi ! Ecoute-moi ! Où vas-tu ?
Regarde-toi… Où vas-tu ? Où vas-tu ?
Regarde-toi ! Ecoute-moi ! Où vas-tu ?
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8. |
Je ne t'ai jamais menti
04:32
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|||
*Je ne t'ai jamais menti*
--------------------------------
Un jour ma mère m'a même dit
que j'étais l'une de ceux deux
qui un soir de diversion
est montée au train du tunnel de la peur.
À côté de moi il y avait un garçon
Il avait aussi peur que moi
Lui sur le point d'avoir neuf ans
sept ans j'avais eu la veille.
Je ne t’ai jamais menti
On s'est regardés on s'est donné la main
en nous souhaitant de la bonne chance
on ne s'est parlé à aucun des tours
nouson ne voulait que descendre
Mais du coup tu n'étais plus là
ni moi non plus je savais où aller
plus de soixante ans se sont passés
chacun de nous se rappelant l'autre.
Je ne t'ai jamais menti. (Bis)
Tous les jours je continue à te chercher
mais cette foire-là a déjà disparu
on y a contruit une salle de danse
pour qu'on y aille un jour tous les deux.
Hier soir quand je rentrais chez moi
nous on s'est rencontrés tous les deux
on s'est regardés on s'est donné la main
toi tu avais aussi peur que moi.
Je ne t'ai jamais menti. (Bis)
On rentre tout vieux à la maison
mais on restera toujours jeunes.(BIS x 4)
Je ne t'ai jamais menti. (Bis x 3)
Un jour ma mère m'a même dit
que j'étais l'une de ceux deux
qui un soir de diversion
estmontée au train du tunnel de la peur.
À côté de moi il y avait un garçon
Il avait aussi peur que moi
Lui sur le point d'avoir neuf ans
sept ans j'avais eu la veille
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9. |
Nous sommes seuls
04:22
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*Nous sommes seuls*
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Autant de temps sans sortir d’ici
nous fait du mal
Autant de temps sans prendre le soleil
Tout est si triste !
Combien de temps dois-je attendre
Pour t’embrasser
Combien de choses doivent se passer
Pour nous rencontrer
Pour nous rencontrer
Tout est si triste
Nous fait du mal
Pour t’embrasser (BIS)
Combien de portes reste-t-il à ouvrir
Et sans sortie
Autant de nuits à attendre comme ça
A voir le ciel
Ne pense pas que je suis seule pour être
un peu plus folle que toi
Les choses devront retourner à leur place
Nous sommes seuls… Oh non
Pour nous rencontrer
Tout est si triste
Nous fait du mal
Pour t’embrasser
Nous sommes seuls
Oh non
Tout est si triste
Nous fait du mal
Pour t’embrasser
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10. |
||||
*Je me suis faite à la douleur*
----------------------------------------
Je me demande encore
pourquoi personne m'a écoutée
Ça sert plus à rien pardonner
pardonner, oublier que nous n'étions rien...
Combien de temps est déjà passé ?
Sans jamais écouter ta voix
peu importe que j'aie sommeil
si à la fin je vais pas dormir... dormir
[Ça n’a pas été du tout le mieux...]
la blessure continue ouverte
[Ça n’a pas été du tout le mieux...]
je me suis faite à la douleur
[Ça n’a pas été du tout le mieux...]
Pourquoi tu m'as jamais appelée ?
Dis-moi s'il te plaît
dis-moi où tu, dis-moi où tu étais
dis-moi où tu, dis-moi où tu étais
Dans les rues il n'y a plus personne
Où est-elle partie ta voix ?
Je rappelle tes paroles
pardonner, oublier que nous n'étions rien...
En marchant parmi les zombies
moi j'ai cru te voir, dormir, dormir
[Ça a pas été du tout le mieux...]
la blessure continue ouverte
[Ça a pas été du tout le mieux...]
dormir, rêver
[Ça a pas été du tout le mieux...]
je me suis faite à la douleur
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11. |
Question de foi
04:24
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|||
*Question de foi*
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Ça fait aussi longtemps qu'on ne fait rien...
Il faut tout laisser tel quel on l'a trouvé.
Il ne reste plus personne comme toi
Quelque chose qui me fasse sentir mieux
J'ai besoin de toi, comme le feu et l'air
Si tu veux ce soir, on (on on) quitte tout
Ne me dis rien, ça n’a pas de sens
qu'on continue assis, à voir comment on nous regarde
si c'est vrai tout ce qu'on nous avait dit
Je te supplie de pas regarder en arrière
Je veux pas y aller si tu vas pas y être
Tout a semblé très court à la fin
C'est trop facile à côté de toi
Je t'ai dit beaucoup de fois
que je veux pas te quitter
Maudits enfers, ils nous tiennent séparés
mais cependant tu es toujours à mes côtés eeeee
On ne pense jamais, à tort ou à raison
on est heureux, quand on te casse les pieds
question de foi, fatiqués de supplier
Ne me mens plus
Ça vaut la peine, d'essayer encore une fois
Le coeur me le dit, à tort ou à raison
on est heureux, ne l'oublie pas s'il te plaît (Bis)
Auuuh je peux seulement te donner un peu de chaleur
Je regrette tellement de pas être meilleure
Auuuh regarde-moi et dis-moi tout ce que tu vois
Personne ne sait ce que je ressens pour toi. (BIS)
Je regrette tellement de pas être meilleure
Personne ne sait ce que je ressens pour toi.
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12. |
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*Tu seras jamais plus jeune qu’aujourd’hui*
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L’avion est déjà passé aujourd’hui
Le signal qu’il a laissé nous a marqués
Je rappelle quand nous jouions tous les deux
Comme ça il s’est passé
On a grandi avec la force d’un cyclone
Qui s’en va fatigué de souffler cette triste chanson
Grâce à toi, aujourd’hui je vais mieux, mon amour
Tu seras jamais plus jeune qu’aujourd’hui (x3)
Tu seras jamais, tu seras jamais
Jeune qu’aujourd’hui (BIS)
Tu seras jamais … jeune qu’aujourd’hui (BIS)
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